Le stress peut être décrit par de nombreux symptômes comme:
- Anxiété, angoisse, peur, dépression, nervosité
- Des douleurs de dos, douleurs musculaires, douleurs d’épaules, douleur de cou, douleur thoracique, sensation d’oppression
- Fatigue, manque de concentration, manque de volonté
- Insomnie, difficulté d’endormissement, cauchemars, troubles du sommeil, réveils fréquents
- Acné, zona, psoriasis, eczéma
- Troubles de la digestion: constipation, diarrhée, hernie hiatale, douleurs d’estomac. Prise de poids, surpoids, pulsion sucrée
- Céphalée, migraine, bruxisme
- Troubles menstruels (syndrome prémenstruel, absence de règles, règles irrégulières ou abondantes)….
Il peut devenir une maladie chronique ou peut être d’apparition récente (coronavirus, confinement). Le stress chronique a des répercussions sur la santé comme notamment des risques accrues d’hypertension artérielle, une baisse de l‘immunité, diabète….
Comment gérer le stress?
Il existe plusieurs études sur le stress et la respiration. La pratique d’activité douce comme le yoga, la méditation, la marche dans la nature est bénéfique.
La méditation et le yoga favorise la détente et calme les états d’anxiété. Des exercices de respiration permettent de calmer rapidement le système nerveux et modifie les taux de cholestérol. Je vous rappelle que le stress est nocif au système immunitaire.
L’acupuncture
En médecine traditionnelle chinoise, il existe de nombreux points d’acupuncture pour réguler les états anxieux et le stress. Plusieurs études ont démontré que l’acupuncture avait un impact positif sur le stress, un effet antidépresseur, une baisse du rythme cardiaque et par conséquent une baisse de l’hypertension artérielle ainsi qu’une action anti-inflammatoire.
L’acupuncteur donne souvent en complément des plantes pour calmer .De nombreuses plantes agissent comme des antidépresseurs. D’autres sont comme des neurotransmetteurs et donc augmentent la résistance au stress. Certaines agissement comme des régulateurs d’appétit, ou régulent le sommeil et l’insomnie.
Références:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4203477/
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6625224/